La vallée de la poudre...

Le dernier film que je suis allé voir avec Glenn Ford, c’était une copie neuve d’un vieux film… et j’avais à l’époque fait un billet sur mon premier blog…

Je reproduit ici le texte correspondant :

« En résumé, la toile ça a été… un bon vieux western avec Glenn Ford et Leslie Nielsen (ce n'était pas un flic pour sauver le western !).

Copie neuve d'un vieux film : c'est ce qu'on peut trouver dans les salles d'art et d'essai. Sympa

Pour ce qui est du titre : peut mieux faire, en effet, la vallée de la poudre, c'est le nom du bled (si j'ai bien vu le nom de la gare). Pour le titre en VO, ce serait plutôt le berger... (sheepman).

Bon, l'anglais ce n'est pas mon fort, mais la sortie était sympa. »

Glenn Ford était un grand acteur !

Vendredi 1 Septembre

- pensez à fêter les Gilles.

C’est l’anniversaire de la fin du règne de Louis XIV, décédé en 1715 à 77 ans !

Le mot du jour / le nom du jour : 

Louis XIV le Grand, dit le Roi-Soleil (Saint-Germain-en-Laye 1638 - Versailles 1715)

Roi de France (1643 - 1715), de la dynastie des Bourbons.

-Fils de Louis XIII et d'Anne d'Autriche, âgé de cinq ans à la mort de son père, il subit l'influence de sa mère, la régente Anne d'Autriche, et de Mazarin, et est profondément marqué par la Fronde (1648 - 1653). Majeur en 1651, Louis XIV reste sous l'influence de Mazarin, qui, en 1660, lui fait épouser Marie-Thérèse d'Autriche. Mazarin mort (1661), le jeune souverain se donne passionnément à son « métier de roi » et se révèle monarque absolu. Aidé de Colbert, il réforme le gouvernement et entreprend la centralisation et l'unification de l'administration. Il s'entoure d'un petit nombre de collaborateurs, choisis parmi la noblesse de robe et la bourgeoisie, et, après avoir fait arrêter et condamner Fouquet (1664), il s'appuie sur quelques dynasties ministérielles sûres comme les Colbert et les Le Tellier. Sur le plan religieux, il est en conflit avec la papauté (affaire de la régale sous Innocent XI), mais adopte une politique répressive vis-à-vis des protestants (dragonnades), allant jusqu'à révoquer l'édit de Nantes (1685), et lutte sans merci contre le jansénisme (bulle Unigenitus, 1713). Soucieux de la gloire et de l'étiquette, protecteur des arts et des lettres, Louis XIV fait de Versailles et de Paris les hauts lieux de la culture et de l'art classique en Europe. À l'extérieur, motivé par un appétit de gloire et de prestige, Louis XIV vise à imposer la prédominance française. Il dispose, grâce à Louvois, d'une armée sans rivale et trouve en Vauban un constructeur de places fortes hors du commun. Une longue suite de guerres jalonne son règne : guerre de Dévolution (1667 - 1668) contre l'Espagne, à l'issue de laquelle la France acquiert une partie notable de la Flandre ; guerre de Hollande (1672 - 1679), qui permet à Louis XIV d'acquérir la Franche-Comté ; guerre de la ligue d'Augsbourg (1688 - 1697), provoquée, entre autres, par la politique des « réunions » (1679 - 1684) et qui se termine par les traités de Ryswick ; guerre de la Succession d'Espagne (1701 - 1714). Les traités d'Utrecht et de Rastatt (1713 - 1714), par lesquels la France reconnaît la séparation des Couronnes d'Espagne et de France et cède une partie de ses colonies canadiennes à l'Angleterre, marquent la fin de l'hégémonie française. Cette longue suite de guerres finit par épuiser la France, et Louis XIV laisse à son successeur un pays exsangue. Après la mort de Marie-Thérèse (1683), Louis XIV, qui, de ses différentes maîtresses, a eu plusieurs enfants bâtards ou légitimés, épouse secrètement Mme de Maintenon. 

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